30 mai 2008 Visite éclair de deux copines de moi
Quand Marie et Amandine débarquent en Martinique, elles ne restent que 8-10 jours... et après se plaignent que c'est trop peu ! Je confirme, c'était court, mais intense. Je vous raconte le parcours d'un trait, parce que « j'ai pas le temps j'ai matériellement pas le temps » (dixit Clauudie Fincamp)
Premier constat : c'était girly. Le temps de se faire les ongles…
…des bains de pieds,
Notez la chronologie, Marie a les ongles des pieds faits!!
…et hop là ! on filait sur la plage faire bronzette. Amandine nous l'a jouée club Barbie (trop chouuuuu !)...
...et Marie se la ramenait un peu neo-hippie chic-altermondialisante (le foulard de Katmandou, c'était pour pas abimer sa couleur de cheveux en fait, la gueule de l'altermondialiste).
Je leur ai fait goûter les spécialités du pays (repas Accras/fraises Tagadas, cherchez pas, elles voulaient pas manger du chatrou...) (le chatrou c'est du poulpe, bande d'incultes) (c'est vrai que le chatrou ça donne pas super envie en visuel).
Mais je pense que les piments et épices sont montées au nez de marie (enfin...ptet un peu moins haut, il parait que ça aide à faire circuler le sang tout ça ;-)) car à peine débarquée au resto qu'elle avait déjà repéré et attiré un « j'me ferais bien un ptit café » (nom de code pour « beau gosse en vue », on n'a jamais réussi à l'utiliser à temps ce fichu code…).
Désolée c'est la seule photo sur laquelle on le voit un peu. Mais il était pas trop mal en vrai.
Enfin, nous on pense que les seins de Marie envoient des phéromones qui rendent les serveurs et les plagistes tout fous. Du coup, pour évacuer toute cette tension à la limite du palpable, il fallait bien faire un club branchouille de la Martinique : le Ponton. En bord de mer comme son nom l'indique, mais ambiance sales-gosses-de-békés-qui-se-la-racontent-à-mort-et-se-recoiffent-aux-chiottes-toutes-les-deux-secondes :
Vous remarquerez les gens en arrière plan, tous blancs bizarrement.
C'était chouette cela dit. Mais un peu mal au crâne le lendemain (le mélange « tropicalisé » rhum/Mojito/vin rouge n'étant pas particulièrement digeste) alors Marie nous a fait croire qu'elle buvait de l'eau pendant que nous visitons la Mangrove :
Autant vous dire qu'on n'y a pas cru une seule seconde. En plus je trouve que c'est vraiment dégueulasse pour la mangrove parce qu'elle était toute sèche ce jour-là et qu'elle aurait surement bien aimé se la faire, cette bouteille d'eau :
Mais passons. Parce que ce séjour n'aurait pas eu une telle saveur si notre guide sur la Pelée…
J'adore la petite touche neo-colonialiste avec le chapeau…
…n'avait pas ponctué leur séjour de citations vaseuses tirées de Dikkenek, le film culte de Lo. En fait en y réfléchissant bien, Laurent n'a parlé QUE en citant Dikkenek. La plupart du temps, ça allait, c'était à peu près cohérent avec la situation réelle. Et parfois, le film ne comportait aucune citation qui correspondait à la situation, alors mon chéri racontait…euh… n'importe quoi.
Je crois que c'est ce qui a convaincu les filles qu'il fallait vite qu'elles repartent en Métropole avant qu'il ne devienne dangereux.
Je ne sais pas si le grain de folie est contagieux mais Amandine a TOUT DE MEME essayé de rentrer en cheval…
… mais c'est un peu loin Paris à cheval. Et y a un gros bout de mer au milieu du voyage. Alors par dépit, ces demoiselles ont pris l'avion pour rentrer. Fin du périple, et moi je rends l'antenne, à vous les studios !
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 18 autres membres